mercredi 20 janvier 2010

Débuter l'année du bon pied

Chers lecteurs,

Il semble que la quantité de billets que je puisse écrire par année soit limitée par ma faculté innée à procrastiner. Il y a longtemps que je ne prends plus le temps de déverser mes états d’âme devant mon écran : tant dans mon blogue que dans mes fichiers textes qui n’auront jamais d’autres lecteurs que votre humble serviteur. Je profite des quelques minutes qui me restent pour vous renseigner sur ma dernière résolution : redevenir en forme. Bref, je pense que toutes ces histoires de gastronomie conjuguées à des horaires impossibles et une fatigue cumulée n’ont fait perdre une partie de ma santé.

Alors à partir de maintenant, exercice obligatoire quatre soirs de semaine. Pour ne pas me brûler, j’y vais seulement une heure à la fois et j’ai diminué mes ambitions (j’avais pensé au début commencer à raison de six fois par semaine, mais voilà qui serait un peu exaspérant…) d’autant plus qu’il me semble avoir de meilleures choses à faire, particulièrement les vendredis et samedis soirs! Alors, pour le moment, les interminables gueuletons… ne se trouvent pas encore dans la liste des choses interdites, je pense que le changement serait trop drastique. Disons simplement que j’essaye de manger en faisant plus attention à ce qui se trouve dans mon assiette… et à tenter de dormir suffisamment. J’ai de la difficulté à aller me coucher, plus particulièrement depuis que j’ai découvert la série télévisée Malcolm in the Middle : il me semble que c’est un peu malsain.

Je découvre les bienfaits de faire de bonnes nuits de sommeil : ma productivité et mon énergie sont décuplées. Bien évidemment, je suis loin… très loin d’être assagi : mon corps ayant été particulièrement généreux avec moi durant plusieurs années, il est dur de changer des habitudes fermement ancrées en moi. L’important, il me semble, ce n’est d’avoir l’objectif d’être parfait (premièrement, on n’atteint jamais un tel objectif et deuxièmement les gens presque parfaits ont une tendance malsaine à me tomber sur les nerfs), mais bien de faire mon petit bout de chemin, un jour à la fois.

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