mercredi 25 juillet 2012

Le retour du balancier (de vélo)

Lors de la dernière fin de semaine, ma chérie et moi sommes allés faire une romantique escapade à vélo aux îles de Boucherville. J’adore faire du vélo et le fait de partager cette passion avec mon amour est d’autant plus agréable lorsque l’on s’émerveille à deux de découvrir la beauté que la nature nous offre. Je recommande fortement à quiconque aime la nature d’aller découvrir ce merveilleux parc si près de Montréal.

Le côté un peu moins rose de cette épopée (outre quelques courbatures pour ma chérie comme pour moi) fut que mon frein arrière accotait sur mon pneu, du moins c’était ce que je croyais. Aussi ais-je décidé aujourd’hui de remonter sur mon vélo, question de m’élancer dans Montréal pour dépenser mon énergie et m’amuser un peu. Or, comble de malheur, ce n’est pas le frein qui accotait sur mon pneu, c’est ma roue qui était désaxée parce qu’un rayon s’est brisé. Cela veut dire un tour chez le réparateur… pour la cinquième fois cet été! Au début, d’accord, le manque d’entretien l’année passée était flagrant et j’avais une crevaison… mais après cinq fois, ça commence à faire mal au budget.

Je me suis dit dernièrement : « tu es assez grand pour changer ta chambre à air toi-même » alors je suis allé m’acheter les outils nécessaires… pour finir par poser cinq rustines sur ma chambre à air qui a crevée encore une fois. Les fois où j’ai tenté de réparer moi-même mon vélo resteront à jamais inscrites dans les anales des réparateurs du dimanche : je détruis plus que je répare. Comme quoi, parfois, il faut plus que de bonnes intentions! Ma chérie me recommandait dernièrement de prendre des cours pour apprendre à démonter moi-même mon vélo de fond en comble : je pense éventuellement tirer parti de cette recommandation!

Je vous partage ces réflexions, amis lecteurs, d’une part parce que je n’ai rien écrit depuis belle lurette et d’autre, parce que c’est un moyen pour moi de ventiler de ma nouvelle mésaventure. Si je calcule le nombre de kilomètres parcourus et de réparations, je crois qu’il vaut mieux pour moi me déplacer en auto, essence comprise, car c’est beaucoup moins cher que le vélo.

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